Cacouna: Wolastoqiyik

Qey! Félicitations, vous êtes arrivé dans la communauté de Cacouna.

Cacouna

Wolastoqiyik

La Première Nation Wolastoqiyik Wahsipekuk, qui s’appelait auparavant la Première Nation malécite de Viger, possède deux communautés : Cacouna et Kataskomiq. Contrairement à la grande majorité des autres communautés autochtones, elles sont inhabitées par les Wolastoqiyik. On retrouve à Cacouna le siège de la nation en plus de la maison Denis-Launière, un bâtiment patrimonial qui abrite l’atelier-boutique d’art Matuweskewin. L’origine du mot Cacouna ne fait pas l’unanimité. Une première hypothèse viendrait de l’iiyiyuu ayimuun avec le mot Kakwa ou Kakoua qui signifie « porc-épic » et nak qui veut dire « demeure de ». Ce qui donne « la demeure du porc-épic ». Étant donné que les Eeyou n’ont jamais vraiment fréquenté la région, on suppose que ce serait les Innus qui auraient nommé l’endroit ainsi lors de leurs traversées. Il pourrait aussi s’agir d’un mot wolastoqey, kakona, qui se traduit par « tortue ». Bien que la plupart des membres de la nation parlent le français, de nombreux efforts ont été faits au cours des dernières années pour revitaliser la langue ancestrale, le Wolastoqey latuwewakon.  

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Synopsis : Visite du site des pow-wow et de la grève à Cacouna près de la maison Denis-Launière.

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Synopsis : Les festivités dans le cadre d’un pow-wow à Cacouna.


Wendake : Hurons-Wendat

Kwe! Félicitations, vous êtes arrivé dans la communauté de Wendake.

Wendake

Hurons-Wendat

Wendake est une communauté autochtone enclavée dans la ville de Québec. Wendake signifie « chez les Wendat ». Ce sont les Français arrivés en Amérique qui les nommeront Hurons. Endormi pendant 100 ans, le wendat, une langue de la famille linguistique iroquoienne, a pu faire l’objet d’une revitalisation grâce aux nombreuses initiatives de la communauté. C’est cependant la français qui est couramment parlé. Renommée pour son Hôtel-Musée, Wendake a aussi plusieurs attraits touristiques mettant en valeur la culture et les traditions du peuple huron-wendat, tant au niveau architectural, gastronomique qu’artisanal. 

Selon Tourisme Autochtone Québec, installée à Wendake depuis 1967, cette communauté très dynamique culturellement compte près de 2000 habitants. La langue d’origine est le Wendat, une langue iroquoienne, mais les Hurons-Wendat parlent aujourd’hui le français. C’est la seule communauté de la Nation huronne-wendat au Canada.

Cliquez ICI pour en découvrir davantage sur les Hurons-Wendat.

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Synopsis : Scène automnale à Wendake.


Kahnawake: Kanien’kehá:ka

Shé:kon! Félicitations, vous êtes arrivé dans la communauté de Kahnawá:ke.

Kahnawake

Kanien’kehá:ka

Le nom kahnawá:ke signifie « lieu des rapides ». Les Kanien’kehá:ka, plus connus sous le nom de Mohawks par les Allochtones, sont une des onze nations autochtones. Le mot Kanien’kehá:ka veut dire « peuple du silex » en kanien’kéha, la langue ancestrale de ce peuple. Kahnawá:ke est une des trois communautés des Kanien’kehá:ka que l’on retrouve au Québec. S’inspirant des valeurs ancestrales et dans une optique d’autodétermination, les Kanien’kehá:ka mettent en valeur leur culture afin de maintenir une identité forte et favoriser le développement de la communauté. 

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Synopsis: Images de la chapelle et du santuaire dédié à Kateri Tekakwitha, première sainte autochtone en Amérique du Nord.


Odanak : Waban-Aki

Kwaï! Félicitations, vous êtes arrivé dans la communauté d’Odanak.

Odanak

Waban-Aki

Odanak est une des deux communautés de la nation Waban-Aki avec Wôlinak. Son nom signifie « au village » en abénakis. C’est dans cette communauté qu’on retrouve le premier musée entièrement consacré à la culture autochtone, le Musée des Abénakis. De plus, on y retrouve également l’Institut Kiuna, le premier et le seul cégep voué à l’éducation des autochtones au Québec.  La nation doit son nom au mot W8ban (Waban) qui signifie « lumière » et a’Ki qui signifie « terre ». Ensemble, les deux mots signifient « peuple du matin » ou « peuple du soleil levant » voire même « peuple de l’Est ». Les Abénakis sont reconnus pour leur vannerie de frêne, un art qui consiste en un tressage de bandes de bois très minces pour en faire des paniers. Grâce au développement touristique, Odanak a pu préserver ses traditions et sa culture tout en favorisant l’essor économique de la communauté.

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Synopsis : À la recherche du frêne noir, matière première de la vannerie.


Kitigan Zibi: Anishinabeg

Kwe! Félicitations, vous êtes arrivé dans la communauté de Kitigan Zibi.

Kitigan Zibi

Anishinabeg

Kitigan Zibi est une communauté autochtone anishinabe de près de 2300 habitants. Fière de ses racines et de ses traditions, Kitigan Zibi met de l’avant diverses initiatives pour vitaliser sa communauté et sa culture. Grâce à la prise en charge de ses écoles, la communauté a su dynamiser son développement culturel et sa langue en plus d’offrir de nombreuses activités touristiques dont la visite de son centre d’exposition culturelle. 

Selon Tourisme Autochtone Québec, Kitigan veut dire désert ou terre cultivée et zibi signifie rivière, correspondant aux limites du territoire par la rivière de l’Aigle et la rivière Désert.

Cliquez ICI pour en découvrir davantage sur les membres de la nation algonquine.

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Synopsis : Présentation des infrastructures communautaires et culturelles de Kitigan Zibi.

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Synopsis : Images de l’entrée de la communauté de Kitigan Zibi.

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Synopsis : Présentation  du service de police de Kitigan Zibi. 


Nutashkuan: Innus

Kuei! Félicitations, vous êtes arrivé dans la communauté de Nutashkuan.

Nutashkuan

Innus

En innu-aimun Nutashkuan a pour signification « là où l’on chasse l’ours ». 

La communauté innue de Nutashkuan est située à l’embouchure de la rivière Natashquan sur la Moyenne-Côte-Nord. On y parle l’innu-aimun. Bien que son nom résonne comme le village natal de Gilles Vigneault, Natashquan, la communauté est bien distincte de la municipalité. Nutashkuan et sa proximité au fleuve en font un site de pêche au saumon et de chasse à l’ours et au loup-marin privilégié depuis longtemps.

José Mestenapéo est de la nation innue et il est né à Nutashkuan le 18 février 2009. José possédait déjà son caméscope avant l’arrivée de la roulotte, il avait déjà filmé toutes les maisons et plusieurs personnes de la communauté. José va entamer sa deuxième année du primaire à l’automne 2017, ses passe-temps favoris sont filmer avec sa caméra et dormir. Quand il sera grand, il aimerait travailler comme cinéaste avec Wapikoni mobile ou être policier à Natashquan.

Selon Tourisme Autochtone Québec, la communauté Nutashkuan est fière de sa pêche au saumon de l’Atlantique reconnue internationalement. Les activités économiques principales sont l’art et l’artisanat, le piégeage et le tourisme.

Cliquez ICI pour en découvrir davantage sur les Ilnus ainsi que les Innus.

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Titre du film : J’aime toute avec Wapikoni

Réalisé par: José Mestenapéo

Synopsis : Du haut de ses huit ans, José nous fait découvrir son village, Nutashkuan, et tout ce qu’il y adore.


Listuguj : Mi'gmaq

Qwe! Félicitations, vous êtes arrivé dans la communauté de Listuguj.

Listuguj

Mi'gmaq

Le mot « Listuguj », souvent orthographié « Restigouche » en anglais et « Ristigouche » en français, est à l’origine de plusieurs toponymes régionaux dont la rivière Ristigouche. La communauté de Listuguj est située sur le bord de la baie des Chaleurs. La pêche est donc très importante dans l’histoire et l’économie des Mi’gmaq de part cette proximité avec l’eau.

Selon Tourisme Autochtone Québec, Listuguj, communauté mi’gmaq son nom à l’une des formes traditionnelles d’écriture de leur langue qui est toujours utilisée en Gaspésie. Ils ont comme principale ressource naturelle le saumon, qui est considéré comme un animal sacré et une nourriture traditionnelle. La langue principale est le mi’gmaq.

Cliquez ICI pour en découvrir davantage sur les mi’gmaqs.

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Titre du film : Listiguj Mi’gmak legends

Réalisé par : La classe de Mr Ryan Parker

Synopsis : Un aîné visite les élèves de septième année de l’école Alaqsite’w Gitpu à Listuguj et leur raconte des légendes et histoires culturelles mi’gmaq. Les élèves racontent ensuite ces histoires dans leurs propres mots sur fond de dessins animés, d’images tournées et d’effets sonores maison.


Gesgapegiag : Mi'gmaq

Qwe! Félicitations, vous êtes arrivé dans la communauté de Gesgapegiag.

Gesgapegiag

Mi'gmaq

Gesgapegiag est une communauté mi’gmaq située sur le bord de la baie des Chaleurs. Son nom, signifiant “rivière large” en mi’gmaq, est aussi à l’origine celui donné à la rivière Cascapédia, rivière bordant la communauté. Les Mi’gmaq de Gesgapegiag parlent majoritairement l’anglais. L’église de Gesgapegiag, dont l’architecture particulière rappellet la structure d’un wigwam, porte le nom de Kateri Tekakwitha, la première autochtone d’Amérique du Nord à être canonisée. 

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Montréal : Wolastoqiyik/Kanien’kehá:ka

Qey! Shé:kon! Félicitations, vous êtes arrivé dans la ville de Montréal.

Synopsis 

Une jeune femme témoigne de son parcours, qui l’a menée de sa communauté d’origine en milieu urbain. Après avoir vécu un choc culturel en ville, c’est là qu’elle désire vivre dorénavant. Iskwew-ishkueu : un film tout en douceur né d’une force de résilience.

Bio de Maïlys Flamand

Maïlys Flamand est née à Roberval et est originaire de la nation Ilnue et de la nation Atikamekw. Depuis 2017, elle a réalisé avec le soutien de Wapikoni trois courts-métrages expérimentaux à Manawan, à l’Université Concordia et dans le cadre du studio virtuel. Ses créations explorent et approfondissent un sujet qui lui est cher, soit le fait d’appartenir à plusieurs lieux. Non seulement Maïlys est réalisatrice chez Wapikoni, mais elle y a aussi travaillé comme coordonnatrice locale, comme animatrice d’ateliers de sensibilisation et comme conceptrice visuelle pour le projet Natakanu. Depuis son déménagement à Montréal en 2019, elle est active dans la communauté autochtone urbaine, notamment en ayant présidé le Cercle des Premières Nations de l’UQAM et en ayant siégé au Conseil jeunesse de Montréal Autochtone. Détentrice d’un diplôme d’études collégiales en arts visuels de Trois-Rivières et d’un certificat en intervention jeunesse autochtone de l’UQAC, Maïlys travaille en tant qu’animatrice culturelle depuis février 2020 à Montréal Autochtone.

Synopsis : Images de la chapelle et du santuaire dédié à Kateri Tekakwitha, première sainte autochtone en Amérique du Nord.

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Kitiganik (Rapid-Lake) : Anicinape “Anishnabe-Anishinaabe”

Kwe! Félicitations, vous êtes arrivé dans la communauté de Kitiganik.

Kitiganik (Rapid Lake)

Anicinape “Anishnabe-Anishinaabe”

Située sur les berges du réservoir Cabonga, la communauté de Kitiganik est souvent appelée Rapid Lake en l’honneur du lac du même nom. Le lac a cependant disparu avec la création du réservoir en 1929. L’utilisation de cette dénomination anglophone s’explique par le fait que la langue seconde la plus commune aux gens de la communauté est l’anglais. L’abondance de la forêt et la proximité avec plusieurs lacs font de cette communauté une destination de choix pour les amateurs de pêche et de plein air. 

Shayden Decoursay est né le 29 août 2004. Elle vit présentement à Kitigan Zibi et passe ses étés à Kitiganik. Ses passions sont le hockey, le ballon-balai, le soccer et le baseball. Elle est fière d’être Anicinape (Anishnabe-Anishinaabe)ikwe ; elle adore pratiquer le chant et la danse traditionnelle de sa communauté. Don’t be afraid to hit the ice est son premier film avec Wapikoni.

Selon Tourisme Autochtone Québec, près de 600 résidents habitent le village anishnabe algonquin Lac-Rapide, situé dans la réserve faunique de La Vérendrye. C’est également l’endroit du siège des Algonquins de Barriere Lake.

Cliquez ICI pour en découvrir davantage sur les membres de la nation algonquine.

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Titre du film: Don’t be afraid to hit the ice 

Réalisé par : Shayden Decoursay

Synopsis : À 12 ans, Shayden vient d’intégrer la ligue de hockey locale où elle fait sa place dans une équipe masculine !